mirage de la vie critique

Il apporte des éléments nouveaux, et la manière de tourner les choses est différente. L'éparpillement du script comme la longueur de l'ensemble ne sauraient faire oublier l'ensemble du casting, d'une justesse et d'un talent remarquables.

Dans Mirage de la vie, La célébrité et la réussite - c'est-à-dire le rêve Américain, ni plus ni moins - ne sont que des "imitations de la vie". Ce conflit sert de filigrane à tout le film et ne trouvera son dénouement qu’avec la mort de Juanita qui permettra enfin à sa fille de s’assumer. Les meilleurs films de tous les temps selon les spectateursLes meilleurs films de tous les temps selon la presse ""Un film grandiose et fou sur la vie et la mort. De Critique-film est le site de tous les passionnés de cinéma et de séries TV. Traîne en longueur, des acteurs très inégaux, un sujet, certes d'actualité à l'époque, mais finalement mal mis en valeur et assez grossièrement présenté ici. Suivre son activité Certes l'histoire est mélodramatique à souhait, sans trop d'excès, mais le scénario pêche de vraisemblance et de profondeur. Le film met tout d'abord en lumière Lana Turner, magistrale dans ce rôle qu'elle incarne avec passion. Suivre son activité Publiée le 13 septembre 2014 Suivre son activité

Un des plus beaux et des plus courageux films jamais réalisés! De son côté, Sarah Jane mène une carrière de danseuse de cabaret, ce qui désespère Annie...Sirk croise les destins et mêle les couleurs d’un flamboyant mélodrame.

Est-ce à dire qu'il est plus simple de traiter de cette question avec une héroïne, ou que l'on se... Remake d’un film des années 1930, « Mirage de la vie » a beau figurer comme l’un des archétypes du genre du mélodrame, il s’en libère... Le propos est ici délibérément social voire politique, Sirk s’attaquant de front au problème racial qui étouffe l’Amérique de la fin des années 50 et qui trouvera son paroxysme dans les révoltes de 67. Heureusement, le drame de la jeune femme noire reniant sa couleur et sa mère vient sauver le film du naufrage. Mélodrame d'une forme parfaite, film dense et profond, Mirage de la vie l'est... et plus encore ! Quoique profitant de l’aisance matérielle de Lora (Lana Turner), Juanita (Annie Johnson) continue à travers sa fille à souffrir de sa condition de femme noire. "Imitation of Life", qui en français se dit "Mirage de la vie", n'est pas seulement le plus beau titre de l'histoire du cinéma, il est aussi un chef-d'oeuvre absolu (...) Il y a là plusieurs scènes qui à chaque vision vous mouillent les yeux (...) Douglas Sirk était un génie. Les années passent.

Le générique défile au son de la chanson éponyme, interprétée par Earl GRANT (1931-1970) dont le style fait penser à celui de Nat King Cole (1919-1965). Mirage de la vie, un film de Douglas Sirk | Synopsis : Une actrice pauvre élève sa petite fille avec l'aide d'une jeune femme noire dont la fillette traverse une difficile crise identitaire. À New York, Lora Meredith jeune veuve et mère d'une fillette, Susie, veut se lancer dans la carrière d'actrice mais a du mal à joindre les deux bouts. Le dernier mélo de Sirk pour la Universal. Suivre son activité toutes les vies sont en effet précieuses&riches Le couple Russell Metty - Douglas Sirk au sommet. Dans l’Amérique conservatrice de la fin des années 50, le cinéaste d’origine danoise s’attache à traiter de la différence raciale. Avec

Les relations entre les mères et les filles sont bien traitées, les personnages sont intéressants surtout celui de Sarah Jane qui est particulièrement antipathique à mes yeux.

L'histoire est quant à elle assez passionnante et consistante abordant avec brio, mais avec parfois quelques stéréotypes et exagérations dans le jeu d'acteur, de nombreux sujets. Malheureusement, j'ai trouvé le film assez long (alors qu'il ne dure que deux petites heures pour raconter une histoire qui se déroule sur plus de dix ans). Le scénario bien construit permet d’aborder plusieurs thèmes : la difficulté d’être parent, surtout quand le père manque (

Félix Lefebvre, Benjamin Voisin, Philippine Velge John David Washington, Robert Pattinson