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Certains plans indiquent des pratiques, des projets ou des démolitions déjà effectuées avant expertise, parfois simplement par une phrase, parfois par un dessin.Source : NOIZET, Hélène.

On le sait d’autant plus à Paris que les règlements successifs, de la fin du XVIIe au début du XXe siècle, sont restés fidèles à une même…L’immobilier de bureaux représente une surface bâtie d’environ 18 millions de m² à Paris et près de 40 millions de m² pour son agglomération en 2017. En 1815, il sera question de la “rééquilibrer vers l’Est”. Louis XV, passionné de vénerie, admire le document et commande en 1764, une première carte identique sur la région de Rambouillet-Saint-Hubert. Thème Affichages dynamiques. EAV, La revue de l'école nationale supérieuse d'architecture de Versailles, 14, 2008-2009, p. 86-951804-1847 - Charles Picquet fit paraître chaque année un tirage nouveau, corrigé avec le plus grand soin (1804, 1808, 1809, 1812, 1814, 1822, 1824, 1826, 1830, 1836).«Il est évident que la collection complète suffirait à elle seule pour l'étude de l'évolution des rues et de la zone bâtie de Paris pendant cette longue période.

Nous vous recommandons la version optimisée pour les mobiles et tablettes de l'application "Cassini | Grand Paris". De plus, à l’intérieur d’une parcelle, les parties bâties sont peintes par un lavis plus foncé (parfois gris) que les parties non bâties. GRAND PARIS NUMERIQUE. Toutes les plantations d’alignement apparaissent nettement, en zone urbaine comme en zone rurale le long des routes. Ils sont censés couvrir l’espace parisien d’avant 1860, soit les 12 anciens arrondissements délimités par la barrière des Fermiers généraux.Comme le format des feuilles ne varie pas, si l’îlot est trop grand, c’est l’échelle qui est changée.

Depuis 1967, l’Apur accompagne les politiques publiques. L’ensemble de la carte s’étend sur 1300 km2. Les préfets, chargés dès 1841 de vérifier les réseaux de communications et la toponymie, vont fournir des qualités de corrections assez inégales. S’imaginer Paris et le Grand Paris 50 ans d’histoire urbaine, 5 périodes, 300 documents, 15000 pages numérisées Depuis 1967, l’Apur accompagne les politiques publiques et relève les défis de Paris et du Grand Paris.

Elle offre un éventail de données inédites, documentées et régulièrement mise à jour : fonds de plan de référence, projets urbains, équipements publics, ressources et besoins énergétiques, données sur l’eau, la végétation, les déchets, données statistiques socio-démographiques, etc.La démarche open data initiée par l’Apur en 2013 vise à libérer régulièrement de nouvelles données issues des études de l’Atelier et participe ainsi à l’innovation métropolitaine et au partage des ressources publiques.Framework et ensemble d'applications libres modulaires, destinées aux collectivités locales.Participer à cartographier les zones de catastrophes en soutien de l'aide humanitaire. La carte éditée au 1/50 000 et au 1/20 000 dispose de cinq couleurs, elle est plus précise et plus juste que la carte d’Etat major. Mais, contrairement à la plupart des cadastres fiscaux, qui ne donnent que la délimitation externe de chaque parcelle fiscale, ces plans comportent en outre la matérialité topographique des unités parcellaires. Saint-Mandé, Ivry, Gentilly, Montrouge, Vanves et Issy donnent des territoires compris dans l’enceinte de Paris, sans compensation. Boulogne reçoit le territoire de Billancourt provenant d’Auteuil et une parcelle du bois de Boulogne provenant de Passy. [...]Depuis le début des années 2000, les grands ensembles de logement sociaux et de copropriété dégradées des années 1950-1980 vieillissants, enclavés et stigmatisés font l’objet de politiques publiques (programme ANRU 1 et ANRU 2) de renouvellement urbain destiné à les transformer profondément. De fantaisie monarchique et courtisane, l’objectif de la carte se déplace vers celui d’un pur chef d’œuvre topographique. Pour les militaires, l’échelle s’avère trop imprécise pour être opérationnelle : au cours de la Première Guerre mondiale, ils ont dû effectuer des « plans directeurs de guerre » au 1/20 000 sur les zones de combat, en utilisant les documents du cadastre complétés par un agrandissement des courbes de niveau au 1/40 000.En 1922, le Service géographique de l’armée plaide pour une nouvelle carte de France plus simple et moins coûteuse : le type 1922 au 1/50 000. Passées quelques années, ne s’offrit plus à lui de contexte si favorable et Berthier vit réduire le nombre de ses ingénieurs géographes des camps et armées imposant des lenteurs aux levées des territoires de la Carte des chasses du roi.