l'être et le non être philosophie

Bien sûr, mais j'expose l'idée de St Jean, pas la mienne. Les efforts, on les fait pour se donner un genre (!) Etre c'est d'abord un verbe. Plus on le cherche, plus il échappe et pour parler de l'etre on en arrive a parler du non-etre. S'il existe, tout est bleu ou non bleu. La volonté, ça vient bien plus tard. Comment l'appréhender ? L'esprit, lui oui.

Qu'elle existent, oui ! Il sert à attribuer une qualité à un sujet. Le non être est le défoulement de l'être car c'est là qu'il s'y réfugie pour être bien, positif, indolore ...(cf : le repos éternel) L'Etre lui-même est insaisissable, Dieu aussi l'est (je parle du concept) parce que, en toute logique Dieu ne peut être défini, ce qui serait le "finir" (lui donner une forme). Quelle confusion ! Reste la métaphysique. ça, y'a pas de doute !

. De traces, de manifestations dont ne voyons pas l'origine (le phénomène face à la chose en soi, l'angoisse face au néant, etc.). Sa distinction entre l'Etre et le Non-Etre est toujours discutée. Peut-on trouver l'etre ? J'ai lu et entendu que traité philosophiquement.,  c' est á dire théoriquement, que l'être et le non être étaient identiques. il a tout dit, non ? Pour se convaincre qu'on n'est pas là pour rien.Le vivant n'a pas de volonté, il n'a que des mécanismes. A l'origine il y a le verbe (le verbe est : relation). Mais... on en est tous un peu là ! Mais paradoxalement, le fait de réaliser cela nous permet de réintégrer notre place dans le Tout. Pour Parménide, l'être c'est Dieu. Avez-  vous des pistes à me proposer, des rèfèrences d' auteurs et de textes á me proposer ? je suis surpris que vous puissiez mettre au meme niveau l'etre, qui est bien reel, tangible, à chaque instant,  et sa negation verbale qui ne designe rien qui existe !! Exister c'est être là et maintenant.

Qu'est-ce que la loi des cycles en métaphysique ? Et ma réflexion est forcement anthropologique puisque je parle de l'homme tel qu'il est dans son fonctionnement spirituel. Il y a les étants, ce sont les "choses" que nous observons. Mais, étant donné que le non être n’est pas, le devenir n’existe pas, il n’est qu’une illusion. Bonsoir. Ce que vous voulez dire je crois c'est "chercher une raison d'exister" comme un "droit à l'existence mérité" qui s'ajouterait au fait que vous existez qui lui ne dépend pas de vous. L'existence c'est une notion incluse dans l'espace et le temps. J'ai lu et entendu que traité philosophiquement.,  c' est á dire théoriquement, que l'être et le non être étaient identiques. J'ai mal à la tête. bien sur on ne peut pas concevoir la totalite ni l'infini, mais au moins on sait qu'ils existent. "Les choses sont" ça ne veut toujours rien dire. L'Etre lui-même est insaisissable, Dieu aussi l'est (je parle du concept) parce que, en toute logique Dieu ne peut être défini, ce qui serait le "finir" (lui donner une forme). je ne crois pas qu'on puisse le comparer à la chose en soi, ou absolu, ou totalité. Vous lisez mal; je n'ai pas écrit "anthropologique" mais "anthropomorphisme". J'ai mal à la tête. J'ai lu et entendu que traité philosophiquement.,  c' est á dire théoriquement, que l'être et le non être étaient identiques. J'ai lu et entendu que traité philosophiquement.,  c' est á dire théoriquement, que l'être et le non être étaient identiques. Exister c'est être là et maintenant. Si je me souviens de Parménide, sa conception de l'être est un casse-tête qui mène à un cul de sac ou à de l'absurde.

En effet, le fait d’exister nous apparaît toujours comme une évidence. Philosophie L'être et le non-être chez Platon 6 Octobre 2015 By claude stéphane perrin L'être le plus général que rencontre toute pensée humaine qui s'interroge sur la totalité du réel n'est pas un Être transcendant, mais l'être qui contient en lui du non-être. Après les désirs... Peut-être les animaux les plus évolués on un semblant de volonté ? La totalité n'est elle définie que par "l'entoure"qui lui même ne peux se concevoir ? De mon côté je vais relire le poème de parménide et certainement Hegel. Les mondes inconnus se révèlent à nous par des effets dont ne percevons pas les origines.

Je vois que mon intervention n'a absolument pas été comprise.

Du fait qu'elles "sont". Le verbe exister a au moins deux sens, un objet existe, et un être fait des efforts pour exister. L'existence elle est là d'emblée, pas besoin de faire des efforts.