C’est un passage obligé, clairement. De même que ses objectifs.D’où l’impérieuse nécessité d’investir dans la connaissance de soi et dans la communication qui s’en suit.

C’est le plus fort, le plus grand, le plus gros, le plus intelligent, le mieux organisé, le plus efficace, le plus agile, le plus riche… qui gagnera, ou survivra, tout simplement. Est-ce que l’on souhaite qu’il trouve une solution à son problème ?

Mais bien de la place que chaque personne cherche à avoir dans son groupe. Et donc la créativité pourtant indispensable à la vie et à la survie des systèmes.Dans ces conditions proches de celles de la jungle, afficher ses points faibles n’est pas conseillé : Mieux vaut garder pour soi ses émotions.

Naturellement, la relation va être moins nourrissante, moins authentique, plus superficielle. Il m’a fallu suivre une formation pour en prendre tout-à-fait conscience.

Elles risquent fort de ne pas passer le cap des générations car les nouvelles vagues (Y et suivantes) ne sont plus prêtes à sacrifier leur vie entière pour le boulot.De plus en plus de boîtes l’ont compris et font des efforts, parfois remarquables, pour développer l’esprit de coopération et l’empathie. Comment me donner le droit de faire part de mon point de vue sans que ce soit considéré comme un jugement ?« C’est essentiel de bien se connaître pour « Être » dans des relations plus authentiques. Il y a même des boîtes – privées ou publiques – où les pires concurrents – les plus féroces – se trouvent à l’intérieur même de l’organisation, minant insidieusement son élan vital. Consacrant une énergie importante à atteindre des objectifs qui n’étaient pas ceux qui nous rendraient plus heureux ?Se connaître soi, en profondeur, permet d’éviter bien des déconvenues. Elle s’est alors formée  à l’institut Cassiopée (© 2020 JusteBien.


Dans mon cadre professionnel, je privilégiais inconsciemment l’efficacité aux aspects relationnels.

Parler vrai au boulot ? Faire face à ma propre réalité et emprunter petit à petit des chemins m’éloignant peu à peu des manières de communiquer habituelles n’est pas toujours évident mais, cela me permet d’oser communiquer de manière plus congruente.En tant que responsable des formations, je ne peux que me réjouir de l’expérience que nous avons récemment vécue au sein du CPAS de Charleroi. Enfin, les professionnels de la santé classique ou de thérapies complémentaires se forment aussi de plus en plus à ces concepts qui permettent au-delà des techniques proposées de soutenir moralement les patients.

Il y exprime aussi cette nécessité de respecter l’autre dans son histoire, sa vision du monde, ses croyances, sa personnalité, ses valeurs… En d’autres termes, cela signifie l’accepter exactement comme il est, sans vouloir le transformer,  penser qu’il se trompe ou qu’il ne voit pas les choses de la bonne façon. Et qui mènent parfois à des échanges dignes des tragédies grecques.Qu’on le veuille ou non, l’entreprise est un terrain de jeux de rôles pas si drôles. Et, de cela, découle bien entendu votre capacité à lui faire confiance ou pas… Quand on parle d’authenticité, cela ne signifie pas que l’on doit dire tout ce que l’on pense ! Ce non –verbal donne énormément d’informations sur ce que l’on pense vraiment sans avoir la capacité de le maitriser totalement (à part si vous êtes un très bon joueur de poker !). »« Pour être dans une relation authentique il n’y a pas de miracle. Pas si facile. Et puis, au détour d’une formation donnée par l’équipe du BAO Group« Depuis  2 ans, je suis en charge de la réorganisation d’un service. Pas si facile. Combien d’entre nous n’ont pas déjà couru derrière un leurre ? Personnellement, j’essaie d’exprimer davantage mes émotions négatives et positives, de donner régulièrement du feed-back à mes collègues pour développer des rapports plus authentiques. Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site. Out of these cookies, the cookies that are categorized as necessary are stored on your browser as they are essential for the working of basic functionalities of the website.

Alors j’attends, j’attends… et j’accumule les émotions négatives ; et puis un jour, où j’atteins mon seuil de tolérance, soit « l’éruption » est violente et l’autre n’y comprend rien, soit c’est mon propre corps qui s’exprime : ulcère, migraine voire dépression ou burn-out !
Une place où elle se sent bien.

De la même façon qu’un virtuose du violon ne produira que bruit sur un instrument désaccordé.Concrètement, avant de communiquer de façon non violente, encore faut-il savoir quoi dire, à qui et pourquoi… Tout un programme.Exprimer ses émotions est essentiel pour maintenir la bonne santé psychique et même physique si on retient l’idée d’un lien entre le corps et l’esprit.

Il y a encore du chemin à faire… Et il commence dans la famille et à l’école.« Tant dans la vie professionnelle que privée, je voudrais parfois tellement dire à l’autre ce que sa façon de faire ou de ne pas faire provoque comme émotion chez moi mais… je ne le fais pas, soit pour ne pas le blesser soit parce que je n’ose pas. Cependant, si on ne se connaît pas bien, les émotions peuvent nous jouer des tours. Accueil Formation continue Techniques d'animation et éducatives Socio-esthétique dans la relation d’aide : bien être et valorisation de l’image de soi Retour aux formations Cette formation permet aux professionnels de développer les compétences techniques et humaines pour mener des ateliers de socio-esthétique auprès des personnes accompagnées.


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